Saviez-vous que 27%* des salariés de divers pays considèrent le déficit de reconnaissance et de récompenses comme une raison majeure de quitter leur poste. Cette donnée met en lumière la nécessité de réévaluer nos méthodes de valorisation du personnel.
En effet, selon nos données recueillies, la reconnaissance est vécue à 64%, tandis que son importance est estimée à 79%, révélant ainsi un écart significatif à combler pour renforcer la satisfaction et la fidélité des employé.es.
La reconnaissance n’adopte pas une forme universelle : elle peut s’exprimer sous diverses formes. Les employé.es aspirent à être reconnus de manière qui leur est propre, différenciant les moments, les moyens et les contextes de cette reconnaissance. Cette variabilité représente un défi, mais également une opportunité d’innover dans notre approche, en adoptant des stratégies de reconnaissance plus adaptatives et personnalisées. En comprenant et en respectant les préférences individuelles, nous pouvons rendre la reconnaissance non seulement plus significative, mais aussi plus impactante.
Face à ce constat, il apparaît essentiel d’intégrer la flexibilité et l’écoute active dans nos pratiques de reconnaissance pour qu’elles résonnent véritablement avec chaque membre de l’équipe. Par exemple, en faisant des sondages, pour valider la manière dont la reconnaissance voudrait être vécue. En transformant notre manière de valoriser les contributions individuelles, on ne fait pas seulement un pas vers la rétention des talents, on cultive également un environnement de travail où chacun se sent véritablement apprécié et est engagé. C’est dans cette quête d’une harmonie entre les attentes des employé.es et les actions des employeurs que réside la clé d’un milieu professionnel épanouissant pour tous.
*Rapport mondial 2018, Randstad a présenté des informations importantes issues d’une enquête menée auprès de plus de 175 000 répondants dans 30 pays
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